• Et bien voilà après de longs silences, ce blog ferme. 

    Il y aura toujours des nouvelles de ma petite famille sur Facebook, au moins sur ce réseau je peux contrôler qui lit quoi. 

     

    Audrey


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  • Et c'est parti pour les séances de kiné ! Souffrir pour moins souffrir après ! 

    Ma nouvelle kiné est bavarde comme une pie mais elle explique bien tout et je comprends le pourquoi du comment ! 


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  • J'ai trouvé ce blog ! C'est du vécu, c'est drôle, c'est émouvant. Pour toutes celles qui ont voulu, veulent, voudraient un bébé !

     


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  • Vous saviez que quand je pesais grosso modo 55 kilos, je me trouvais grosse ? Si, si. Consternant.

    Entre 12 et 13 ans la puberté m'est tombé dessus. Ca fait mal. Disons qu'elle a achevé là son installation qui durait depuis quelques années déjà ! Donc en cadeau bonus de pot de départ ou d'installation c'est selon, j'ai eu droit aux hanches XXL, le bonnet B et les fesses à l'hélium. C'était pas grand chose au final, je me rends compte en me revoyant en photo. Mais c'est arrivé d'un coup, trèèès vite. Pourtant, c'est presque passé inaperçu pour moi jusqu'à ce que des personnes bien intentionnées Criant se soient fait un devoir de me faire remarquer à quel point j'étais grosse.

    Par conséquent c'est à cette période qu'ont commencé les gros complexes. Je ne faisais pourtant qu'un 38... Fringues atroces et larges, pulls noués à la taille m'ont suivis jusqu'au lycée. L'avènement du Levis 501 a tout changé ! C'était le seul jean à cette époque dont la coupe était adapté à ma morphologie en 8 (enfin un 8 qui a enflé du bas hein) ! Et comme ça m'allait super bien, j'ai commencé à me sentir mieux même si c'était pas le Pérou.

    Je crois que petit à petit jusqu'à mes 23 ans je suis passée au 42. Très doucement.

    En 2004, je rencontre Rémy je suis encore assez mince, je trouve de quoi me mettre sur les fesses. Mi 2005, on aménage ensemble. Le début de la fin pour ma balance, le truc classique hein ? L'entrée dans la vie active qui paradoxalement ne m'aide pas car tous les jours au boulot il y a des trucs à manger. C'est à cette période que j'ai pris le plus de poids en peu de temps.

    Mon balance menace de se suicider en 2008. Cherchant à avoir un enfant, on me dit que mes ovaires sont en grève, ils se vengent parait-il de ma prise de poids. Je remarque aussi qu'en ce temps-là ce sont surtout les autres que ça gène tous mes kilos. Et encore plus quand je dis que mes analyses de sang sont parfaites. Mais le projet bébé est plus fort que tout et malgré moi, j'entre dans la phase médicalement surveillée de mon poids.

    14 kilos envolés plus tard, je continue. Opération pour éviter un cancer du col de l'utérus en prime et tout de suite après le délai observé après l'opération, grosse surprise : Bébé est là ! L'endocrinologue est formelle, on peut mener à bien une grossesse sans prendre 30 kilos en plus de ceux qu'on a pas encore perdus. Je suis septique. Il s'est avéré qu'elle avait raison ! Si j'avais vraiment été sage durant toute ma grossesse, je n'aurai pas pris un kilo. J'en ai pris 4 ou 5 je crois.

    Après la naissance de Renan, je dégonfle très vite. J'atteins un poids que j'ai plus fait depuis 5 ans ! Mais ma silouhette a changé et malgré les kilos perdus je m'aime encore moins. Je suis plus disproportionnée, mes cuisses elles sont restées comme avant !

    Depuis j'ai repris du poids et je suis plus harmonieuse à mes yeux. Mais désormais j'ai de nouveau envie de perdre du poids. Alors voilà j'en suis là.

    Epique non ? Et encore c'est pas fini !!!


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    Hier matin dans la nuit, j'ai été prise d'atroces douleurs au ventre. Il a fallu appeler le médecin de garde et qu'il me fasse une injection de morphine. Je pensais pas que quelque chose pouvait faire plus mal au ventre que des contractions, qui elles offrent des temps de repos. Et bien si ! pré-diagnostic : colique néphrétique.

    Etant donné l'accouchement récent, mes saignements persistants et du coup l'impossibilité de vérifier s'il a du sang dans mes urines et mes douleurs suite à l'épisiotomie, il me commande une ambulance et c'est comme ça que j'ai déboulé aux urgences à la mauvaise heure comme il m'avait prévenue: changements de postes... Ca a été assez horrible, tout ce temps à attendre sans nouvelles de Renan et de Rémy, attendre les résultats d'examens soit dans un "box" soit dans les couloirs avec d'autres.

    J'y ai passé presque 10h avec la consultation gyné à la fin, que j'ai eu du mal à avoir, les femmes enceintes étant prioritaires donc salles occupées. Et oui, les urgences gynécologiques et les consultations de grossesse c'est dans le même bloc...

    Soulagée d'être rentrée, heureusement que j'avais des réserves de lait maternel pour Renan, qui m'a beaucoup manqué. Au cas où mais en dernier recours, on a du lait maternisé.

    J'ai de grosses crampes depuis et je n'ai pas encore les résultats de toutes les analyses !


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